Gros câââliiiin
Ca a commencé par les pattes avant, sur mes épaules. Des yeux implorants, vite vite, un câlin, un câlin, fais-moi un câââlin. Et puis le haut du corps s'est fait de plus en plus lourd, pendant que le derrière se dandinait d'une patte sur l'autre. Un dernier appui bien franc sur les coudes, et une patte arrière était dans le vide. On y était presque. J'ai attrapé le cucul et hop voilà Gally en place pour un grooooos câââliiin... Zieux dans les zieux, débarbouillage, bisous baveux.
Et puis plus tard, elle en a revoulu. Alors elle a recommencé. Avec l'Ours. Là, c'est monté plus facilement, rapport aux bras costauds. Mêmes causes, mêmes effets, même air satisfait.
Maintenant elle ne veut plus que ça. Quand on souffle et qu'on lui parle de son poids, ses yeux font le nécessaire. Et on l'enlace...
P.S. : je sais ce que vous êtes en train de vous dire. Non, pas Valdéa !